L'afccc : une formation au conseil conjugal et familial recommandée par les professionnels pour sa qualité, son approche psychodynamique ; une formation certifiante dès janvier 2023.

Conseil Conjugal & Familial :
- 53 stagiaires en cours de formation
- 93% des stagiaires soutiennent leurs travaux de fin de formation
- 92% qualifiés sur les trois derniers cycles (cycles 34, 35 et 36)

Accueil & Information Education à la Vie (AI) :
- 13 stagiaires en cours de formation
- 100% des stagiaires qui souhaitent poursuivre en CCF choisissent l’afccc

Formations courtes :
 54 professionnels formés sur les auteurs de violences conjugales et intrafamiliales : 92 % de stagiaires très satisfaits , 6%  satisfaits.

REVUE "DIALOGUE - FAMILLES ET COUPLES"

logo eresLa revue "Dialogue – Familles & Couples" créée en 1964 par l’afccc

  • Est une revue de recherche
  • Apporte qu’un éclairage sur les problématiques et les évolutions sociales et psychologiques du couple et de la famille.

L’afccc a confié la publication et l’édition aux Editions ERES.

Vous pouvez retrouver l'ensemble de la collection sur le site de l'éditeur en suivant ce lien.

Directeur de publication : Alain DUCOUSSO-LACAZE

Directrice adjointe : Marion FELDMAN

Directeur fondateur : Jean-G. LEMAIRE

APPEL A CONTRIBUTION

L'équipe de la revue Dialogue serait heureuse de recevoir de la part de ses lecteurs des contributions pour les numéros à venir.  La revue publie des articles sur des sujets divers traitant du couple et de la famille.

  • Le temps dans la famille (Articles à soumettre avant septembre 2023)
  • Familles et radicalités (Articles à soumettre avant décembre 2023)
  • Pratiques uniques d’aide au couple et à la famille* (Articles à soumettre avant mars 2024)

Vous pouvez d'ores et déjà envoyer vos projets d'articles au secrétariat de rédaction : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Les articles qui ne traitent pas de ces thèmes mais dont la problématique est centrée sur le couple et/ou la famille sont également acceptés.

Voir les conditions de publication en dernier page des numéros de Dialogue.

* Calendrier prévisionnel pouvant être modifié

DERNIERES PARUTIONS

 Florence BECAR, Ouriel ROSENBLUM

Don et famille - Numéro 239 - Revue trimestrielle

Avec la participation de Oxana BLAGOSKLONOV, Paul BOISSENIN, Monique BYDLOWSKI, Marion CANNEAUX Emeline CHAPEL-LARDIC, Agnès CONDAT, Isabel COTE, Christine-Vanessa CUERVO-LOMBARD, Véronique DROUINAUD, Alberto EIGUER, Kevin HIRIDJEE, Romuald JEAN-DIT-PANNEL, Clara JOUANNEAU, Léa KARPEL, Kevin LAVOIE, Anne-Valérie MAZOYER, Nicolas MENDES, Marie MESNIL, Almudena SANAHUJA, Aurélie SCHNEIDER, Arnaud SIMON.

Ce numéro s’intéresse aux différentes acceptions du don et à la manière dont les humains négocient dialectique du don et de la dette et leurs conflits, creuset des différentes confessions.

On ne peut jamais régler sa dette. S’en acquitter suppose transmission et culpabilité de ne pouvoir l’apurer. Le don est multiple : celui de la vie qui recouvre des formes variées (organes, gamètes, amour), l’offrande, l’héritage (et la dette qui lui est corrélée), la possession d’un don, le sacrifice, la dot, le bénévolat, les donations…

Au cœur de la dynamique relationnelle, le don fait partie des échanges et implique sa réception (acceptation ou refus par l’autre). Il met l’accent sur la gratitude, mouvement vers l’autre, reconnaissance de sa subjectivité, de sa valeur. Il n’est jamais gratuit : on est toujours l’obligé de celui qui nous donne, entraînant ambivalence ou agressivité à son égard en raison de la dépendance qu’il induit. Le don ouvre à une altérité à partir de laquelle un devoir est à l’œuvre, conduisant de façon implicite le récipiendaire à s’engager à le faire fructifier sous peine d’être désavoué. Il s’agit de ne pas jouir du don mais d’y ajouter une valeur représentant celle accordée au donneur. Ce numéro montrera combien, dans le don, la demande de l’autre pourrait être annulée.

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Romuald JEAN-DIT-PANNEL, Denis MELLIER

Déchirements, enveloppes et liens en souffrance - Numéro 238 - Revue trimestrielle

Avec la participation de Alexandra BERNARD-VIDAL, Cécile BREHAT, Nathalie DE TIMMERMAN, Patrick DESSEZ Anne-Claire DOBRZYNSKI, Agathe GUICHARD, Maxime JANIN, Marie-Line LOUISE-JULIE, Marie NAIMI, Elodie PAGLIAROLI, Anais RAVIER, Mélina ROUSSEL, Almudena SANAHUJA, Lucia STELL.

Déchirements chez l’enfant, déchirements dans le couple, déchirements de la fratrie, déchirements du corps, déchirements entre les générations : toute une série de problématiques impactent la « peau » de chaque sujet et son appartenance à un ensemble familial, à des « tissus familiaux ». Grandir, c’est chaque fois éprouver des pertes, qui peuvent être parfois vécues comme de véritables « amputations » de soi et laisser alors des traces indélébiles de déchirures chez le sujet. Prendre place dans la société, c’est aussi être confronté à des risques « d’écartèlement » entre vie privée et vie professionnelle, entre une allégeance ou une autre, entre une personne ou une autre. Maladie, handicap, accident, placement, changement de sexe…, combien de situations mettent également les sujets sur le fil de leur existence ? Comment articuler ici la problématique individuelle de chaque sujet, ses douleurs et ses souffrances souvent insondables, avec celle de son « corps familial » ou de ses autres groupes d’appartenance ? Comment le sujet peut-il se défendre face à de tels déchirements ?

Ce numéro tentera de prendre à bras-le-corps tous ces problèmes pour interroger, au-delà des souffrances, le travail psychique et le tissu intersubjectif nécessaire en arrière-fond pour leur donner forme, leur prêter une existence possiblement symbolisable. Ce travail psychique consiste à « réparer » des enveloppes psychiques, des déchirements sans nom, à « repriser », suturer les trous qui affectent le sujet, à (re)donner corps à des liens entre lui-même et l’autre. Comment ces déchirements prennent-ils place dans les différentes enveloppes du sujet (individuelles, de couple, familiales ou de groupe) ? Comment le sujet doit-il réaliser un travail psychique réellement intersubjectif pour dépasser le risque de réanimer ses anciennes déchirures ?

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LECTURE A PARTAGER

"L'individu collectif : Ubuntu au quotidien et en clinique psychologique" par Ari Gounongbé, formateur à l'afccc

Une question simple est traitée dans ce texte : comment des aspects culturels constitutifs de l’identité s’expriment-ils dans notre vie quotidienne et en clinique psychologique ? Ubuntu est un concept phare parce qu’il est le plus connu de tous les concepts identitaires culturels du continent africain. L’expression “individu collectif” que condense ce concept a été utile à cette réflexion comme modèle représentatif d’un mode de vie en Afrique et comme prétexte, pour montrer comment une philosophie implicite imprégnée dans une culture conditionne la manière d’être au monde et agit en interventions psychologiques.

Le mode de vie qu’il inspire se retrouve évidemment dans toutes les régions d’Afrique et du monde ; ce qui en est dit ici est généralisable parce que l’individu collectif inscrit en chacun de nous est cette part attendue d’ouverture et de disponibilité à l’autre, aux autres, acquise par l’éducation, s’exprimant selon les lieux géographiques, les cultures et les circonstances.

L’auteur, psychologue et enseignant, a notamment publié chez L’Harmattan La toile de soi – culture colonisée et expressions d’identité, Les grandes figures de la négritude (avec Lilyan Kesteloot) et Fatigue de la compassion, aux PUF, (voir www.arigounongbe.info).

Ari Gounongbé : "Lilyan Kesteloot, femme au coeur de la négritude" par Edwige Egger-Havet

Lilyan Kesteloot était Docteure et chercheuse en littérature africaine. Elle fut la première Blanche à ouvrir le champ à ce foisonnement Noir et à le promouvoir. Née au Congo belge, dans une culture coloniale donc, elle passa sa vie d’adulte à rencontrer la négritude, tant dans ses travaux universitaires que dans sa vie de femme.

De sa plume si vivante et clinique, Ari Gounongbé nous emmène dans un voyage à la fois humain, ethnique et transculturel. Prenant conscience de la colonisation à son « retour » en Europe, Lilyan est happée par un élan irrésistible à sortir de cet héritage, inspirée d’abord par le communisme, puis par une volonté indéfectible d’allier sa blanchitude à la négritude qui constitue aussi ses racines. Le parcours de femme de Lilyan se mêle à celui de ses révélations littéraires et de ses relations avec ces hommes Noirs, écrivains ou poètes, avec lesquels elle traça le sillon de sa vie, intellectuelle et intime.

Discrète et sensible, imprégnée de culture chrétienne, Blanche, cette femme « épousa » la cause Noire. Qu’y cherchait-elle ? Une sensualité, un enracinement corporel ? … Et ses (lapsus, je voulais écrire « ces »…) hommes, que trouvaient-ils à entretenir des liens rapprochés avec une femme, héritière d’un passé colonial, qui plus est ?

Ami de Lilyan Kesteloot, Ari Gounongbé dessine un portrait coloré d’émotions, où s’esquissent l’admiration et la tendresse qu’il lui portait. La richesse de leur double culture mutuelle fait le terreau de leur union intellectuelle et amicale. Avec sa délicatesse et sa détermination à déterrer les souvenirs enfouis, Ari nous transporte dans ce périple d’un récit de vie qui amène à nous questionner sur la féminité et sa rencontre avec le masculin autant que sur les aspects transculturels des relations entre hommes et femmes.

Paru aux éditions L'Harmattan. En vente sur le site de l'éditeur en suivant ce lien.

En couverture : Lilyan Kesteloot et le président-poète Léopold Sédar Senghor à la Première biennale des lettres de Dakar, 1990. (Photo, collection personnelle de l’auteur acquise lors de la cérémonie d’ouverture).

Caroline Kruse, une conseillère conjugale et familiale formée à l'Afccc, vient de publier « Le savoir vivre en Amoureux », paru en janvier 2021 aux éditions du Rocher.

L'harmonie d'un couple est faite d'idéaux et d'habitudes, ancrés dans l'histoire de chacun, et pas toujours faciles à concilier. Et si on apprenait à inventer, ensemble, son propre savoir-vivre amoureux ? Car l'amour, ça se travaille, ça se construit, ça se nourrit, notamment en se libérant des modèles tout faits.

Ce livre aide à donner du sens aux difficultés du couple, propose des ressources pour s'en dégager, des clés pour prendre du recul, pour mieux se comprendre soi-même et mieux comprendre l'autre aussi.

Caroline Kruse est conseillère conjugale et familiale, thérapeute de couple. Elle collabore avec de nombreux médias et tient une chronique sur le Huffington Post. Elle a déjà publié " Il faut qu'on parle " aux éditions du Rocher.

Vous pouvez nous contacter :

  • en nous écrivant à afccc - 44 rue Danton, 94200 LE KREMLIN-BICETRE
  • en nous appelant au 01 46 70 12 44
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